Mercredi le 29 septembre dernier, le Phénix était de passage à St-Eustache pour y croiser le fer avec les Vikings. C’est avec un alignement réduit à l’attaque dû aux blessures que les joueurs du Phénix ont débuté la partie. Malgré un jeu défensif impérial de la part du Phénix, les Vikings l’emportent 2-1 par l’entremise d’un but de Samuel Rousseau en fusillade.

1^ère période :

Avec des joueurs en moins, l’entraîneur-chef Phil Paquette a dû faire preuve de créativité alors que tôt en 1^ère période, il a perdu les services d’un de ses meilleurs joueurs d’avant en David Fournier après s’être coupé au menton. Les joueurs présents ont mis les bouchées doubles en échec-avant, ce qui leur a permis d’ouvrir le pointage en avantage numérique grâce à un tir de la pointe de la part du défenseur Étienne Lessard.

2^e période :

En période médiane, le Phénix s’est mis en mode défensif pour soutenir son gardien Mathys Fernandez et pallier à l’absence d’attaquants dans la formation.

3^e période :

À l’aube du 3^e vingt, la fatigue s’installait de plus en plus chez les joueurs du Phénix. Malgré un excellent jeu défensif, une erreur en bas de zone aura permis une remise dans l’enclave, ce qui a permis à Rémi Gagné d’égaliser la marque avec 4:57 à faire au match.

Prolongation :

Dès le début de la période supplémentaire, l’attaquant Zachary Morin a écopé d’une pénalité pour avoir fait trébucher. Malgré cela, le Phénix s’est très bien défendu, forçant la tenue d’une séance de fusillade.

Fusillade :

Phénix 1 -Zachary Morin : Arrêt

Vikings 1 -Alexandre Lallier : Arrêt

Phénix 2 -Félix Caron : Arrêt

Vikings 2 -Natan Ethier : Arrêt

Phénix 3 -Renaud Lalancette : Arrêt

Vikings 3 -Samuel Rousseau : But

Éléments clés du match :

• Effectif réduit à l’attaque pour le Phénix.

• David Fournier s’est coupé au menton en début de rencontre et a dû quitter pour l’hôpital.

• Le Phénix pouvait compter sur le retour d’un de ses piliers défensifs en Renaud Lalancette.

• Mathys Fernandez a été solide devant son filet et a reçu l’aide de ses coéquipiers.

• Le Phénix a réussi à se tenir loin du banc des pénalités.