C’est en présence de partenaires déjà très actifs et impliqués à la cause de l’économie locale comme le Centre local de développement économique Les Moulins et la Chambre de commerce et d’industrie Les Moulins que le maire de Terrebonne, M. Marc-André Plante, a fait l’annonce de la campagne « J’achète local », destinée à soutenir les gens d’affaires en ces temps fragiles.
Depuis le déconfinement estival, nous avons mis en place des mesures de soutien et de promotion de notre économie locale. Et nous devons poursuivre dans cette voie. Tous les jours nous constatons à quel point la situation est instable et exige le meilleur de nous. En contrepartie, la bonne nouvelle est que plus nous investirons chez nous, plus nous jouerons pour notre équipe. Et il y a plusieurs façons d’y parvenir! », a-t-il déclaré laissant savoir que la campagne J’achète local en sera une de visibilité et d’information.
C’est dans les prochaines semaines que les citoyens, de même que les visiteurs, verront poindre sur le territoire la nouvelle signature J’achète local : une signature claire, vivifiante et sans équivoque. Une signature qui rappelle visuellement, en outre, les multiples retombées du concept d’achat local.
Et parce que la connaissance demeure un excellent appel à l’action, Terrebonne entend informer régulièrement la population sur les bénéfices de l’achat local de même que sur l’offre de services diversifiée et les caractéristiques de son marché. Bien entendu, Terrebonne compte sur ses partenaires pour faire équipe et relayer ces informations afin de faire rayonner les propos de la campagne. La population, quant à elle, est invitée à suivre nos réseaux sociaux pour découvrir tout ce que les commerçants locaux ont à leur offrir.
Rappelons qu’en avril dernier, au cœur de la première vague de la COVID, Terrebonne, par le biais de la MRC Les Moulins, a participé à une aide financière de 1 272 454 $ afin d’aider les petites et moyennes entreprises. Dans la même veine, une vaste campagne de promotion du Vieux-Terrebonne a été mise sur pied l’été dernier afin de pallier les impacts négatifs de l’absence des acteurs culturels dans ce secteur.