Les pluies diluviennes provoquées par la tempête Debby, le 9 août dernier, ont ravagé de nombreuses résidences du Québec, soulevant une question cruciale : doit-on arrêter la construction de sous-sols au Québec ?
Face à l’ampleur des dégâts causés par le refoulement des égouts, les autorités et experts se penchent sur l’idée d’interdire les sous-sols dans les nouvelles constructions résidentielles.
Les sous-sols deviennent de plus en plus vulnérables aux inondations, exacerbées par des événements climatiques extrêmes qui se multiplient. Ces espaces, qui autrefois servaient de vide sanitaire, se sont transformés en pièces à vivre, mais ils sont maintenant plus exposés aux inondations à cause des infrastructures d’égout qui peinent à gérer les massifs prélevés.
Notons cependant qu’une interdiction des sous-sols pourrait entraîner d’autres défis. Bien que cette solution limiterait les dégâts lors de fortes pluies, elle nécessite une réflexion plus approfondie sur les alternatives viables pour les futurs projets résidentiels.
Devrait-on bannir la construction de sous-sol au Québec ?
Cette discussion est en cours alors que les autorités pèsent sur la meilleure façon de protéger les foyers québécois contre des catastrophes similaires à l’avenir.
