Info Mascouche

« À Mascouche, on n’est pas des jambons! »

Courtoisie

Afin de favoriser le « mieux-vivre ensemble », la Ville de Mascouche déploie une campagne de communication visant à sensibiliser les citoyens aux enjeux liés au manque de civisme en lien avec la propreté dans la municipalité.

Sous le thème « À Mascouche, on n’est pas des jambons », la campagne audacieuse et déjantée illustre des gestes délinquants en leur attribuant le statut de « jambon ». En dénonçant de manière collective ces gestes inacceptables, la Ville veut amener ceux qui les posent à réfléchir à leurs actions. L’utilisation de personnages de « jambon », insouciants, mais sympathiques, contribue à tourner à la dérision ces comportements intolérables.

Les gestes ciblés par la campagne sont les plus problématiques et nuisent couramment à la propreté de la Ville :

•             Dépôts sauvages autour des conteneurs publics;

•             Dépôts sauvages autour des poubelles et dans les sentiers;

•             Crottes de chien non ramassées;

•             Graffitis sur les édifices publics.

« Avec cette campagne de communication, nous souhaitons sensibiliser les Mascouchois aux enjeux engendrés par le manque de civisme, mais aussi les informer sur les alternatives offertes et les bons comportements à adopter, et ce, en utilisant les personnages sympathiques des jambons  », mentionne le maire Guillaume Tremblay.

Une campagne multiplateforme

La campagne sera déployée de plusieurs façons afin d’être vue par le plus grand nombre de citoyens. On pense à de l’affichage, à un déploiement sur les réseaux sociaux, à des animations numériques et plus encore. Le déploiement sera progressif dans les prochaines semaines.

Faits saillants

•             Chaque année, la Ville dépense plus de 150 000$ pour amasser les déchets déposés sauvagement autour des conteneurs publics. Ces ramassages doivent être faits manuellement par des employés municipaux.

•             Les conteneurs publics sont vidangés plusieurs fois par semaine.

•             Ce sont 400 poubelles de parcs et de sentiers qui sont vidées chaque semaine.

•             Plus de 30 000$ sont dépensés pour nettoyer des graffitis chaque année.