Les élus de la couronne Nord réitèrent leur appel au premier ministre pour qu’il déclenche sans délai une élection partielle dans la circonscrip8on pendant laquelle les enjeux de transport et de mobilité pourront être débattus. Dimanche, exactement deux mois se seront écoulés depuis la démission de M. Pierre Fitzgibbon à titre de député de Terrebonne, laissant les citoyens sans représentation à l’Assemblée nationale.
En septembre dernier, la TPÉCN avait déjà interpellé le premier ministre pour souligner l’urgence de pourvoir le siège vacant compte tenu des défis qu’éprouvent les citoyens et citoyennes de la couronne Nord à se déplacer en transport en commun sur le territoire. Aujourd’hui, alors que deux mois se sont écoulés, l’appel se fait plus pressant.
« Le transport et la mobilité sont au cœur des préoccupations des citoyens. Il est essentiel que ces enjeux soient portés à l’Assemblée nationale par un représentant élu », déclare Denis Martin, maire de Deux-Montagnes et président de la TPÉCN. « Attendre jusqu’à l’année prochaine pour déclencher une élection partielle n’est pas acceptable. Nos citoyens méritent une voix maintenant. »
Des enjeux majeurs en suspens
La couronne Nord fait face à des défis importants en ma8ère de transport collectif et de mobilité. Sans député pour défendre leurs intérêts, les citoyens de Terrebonne risquent de voir leurs préoccupations reléguées au second plan, alors que les discussions avec le gouvernement du Québec garantissant un financement stable et prévisible au-delà de 2025 sont toujours en cours.
« Les décisions prises aujourd’hui auront un impact sur la qualité de vie des générations futures. Chaque jour sans représentation est un jour où les besoins de notre communauté ne sont pas entendus, » ajoute Denis Martin. « Il est temps que le gouvernement agisse et permette aux citoyens de Terrebonne de choisir leur représentant. »
La TPÉCN insiste sur l’importance d’un siège à l’Assemblée nationale pour assurer que la voix des citoyens de Terrebonne soit entendue. Le retard dans le déclenchement de l’élection partielle prive les citoyens de Terrebonne de ce droit fondamental.