FADOQ – Région Lanaudière lance Blitz VITAL, un photoreportage en temps réel qui se déroulera dans les villes et les municipalités à travers la région. Tous les membres FADOQ sont invités à participer. Aucune expérience photoreporter n’est nécessaire, il suffit de s’intéresser aux gens et d’aimer la photographie.
Caroline Majeau, directrice générale de FADOQ – Région Lanaudière, a réuni son équipe le 14 mars dernier pour souligner le coup d’envoi de Blitz VITAL en présence de Louise Larivière et Jacques Nadeau. « Blitz VITAL, explique madame Majeau, est une opération commando menée par Louise Larivière considérée comme la pionnière de ce style de photoreportage au Québec. Nous avons également la chance de compter sur la collaboration de Jacques Nadeau, photographe réputé pour le quotidien Le Devoir et auteur de plusieurs ouvrages, qui animera deux classes de maître qui seront offertes gratuitement aux participants. »
« Le but de ce blitz, poursuit madame Larivière, est de faire des images en s’imposant un cadre précis qui inclut une limite de temps dans l’exécution. Les participants auront 5 jours top chrono pour faire leur reportage. Par exemple, ils recevront leurs directives le jour 1 du Blitz, pas avant, précise Larivière qui n’en est pas à son premier blitz. Même si le blitz fait référence à une pratique associée à des pros, on est plus ici dans une compétition amicale; il suffit d’aimer faire de la photo, tout en voulant se donner un petit défi supplémentaire ».
Pour être éligible au projet, il faut tout d’abord avoir rempli la fiche d’inscription qui se trouve sur fadoq.ca/lanaudiere/blitzvital. Par la suite, les participants auront à trouver leurs sujets, prendre les photos, faire la sélection de leurs meilleurs clichés et les soumettre à l’intérieur de dates précises, lesquelles seront communiquées à la dernière minute, un peu comme dans la tradition commando du news, quand un reporter apprend le matin où il se rendra pour couvrir un fait d’actualité brûlant qu’il doit rendre le soir même! « Avec Blitz VITAL, on donne un peu plus de lest aux coureurs : 5 jours, mais pas un de plus » ajoute Larivière pour qui les notions de jeu et de plaisir font partie inhérente du projet.