Dans le cadre de la Semaine de la santé mentale, l’équipe du service psychosocial du Cégep à Terrebonne est fière de lancer trois balados sur les sujets du stress, des réseaux sociaux et de la communication humaine.
Les balados sont le résultat des efforts d’un comité formé de : Maïka Wild, étudiante en Sciences de la nature, Catherine Michaud, étudiante en Techniques de travail social, Maxime Héroux, étudiant au baccalauréat en psychologie et ancien étudiant du Cégep à Terrebonne et Luc Sirois, sexologue, psychothérapeute et conseiller en adaptation scolaire au cégep. Intéressés à aborder différentes réflexions et préoccupations autour de la santé, tous ont participé à l’élaboration des sujets ainsi qu’aux choix des experts et des questions. Chaque thème a été élaboré autour des questionnements des étudiants et l’équipe est allée à la rencontre d’experts. Tous les balados sont animés par Pierre Luc Houde, animateur, comédien et producteur et il est possible de les écouter sur le site Web du cégep.
Le premier balado aborde un thème commun aux étudiants : le stress. Maïka Wild et notre animateur sont allés à la rencontre de madame Sonia Lupien, directrice scientifique du Centre d’Études sur le stress humain et chercheure scientifique. Ce balado permet de mieux comprendre le stress que l’on peut vivre au quotidien et permet de découvrir des stratégies de gestion du stress.
Pour le deuxième balado, Maïka, et notre animateur sont allés à la rencontre de madame Laurence Desjardins, sexologue et coordonnatrice des services chez On SEXplique ça. Ensemble, ils discutent de l’impact de l’utilisation des réseaux sociaux sur nos vies et madame Desjardins en profite pour suggérer quelques pistes pour ne pas tomber dans le piège de la dépendance aux réseaux sociaux.
Finalement, notre équipe a rencontré monsieur Guillaume Dulude détenteur d’un doctorat en neuropsychologie. Ensemble, ils se sont entretenus sur l’expérience de monsieur Dulude, qui a voyagé en Afrique, afin de découvrir les éléments communs de la communication humaine à travers les différentes cultures et contextes sociaux. Ce balado fait ressortir la capacité d’adaptation dans les épreuves et les échecs de la vie.
« Nous avons arrêté notre choix sur les balados, car ce médium est accessible à tous et gagne en popularité. Nous voulions nous assurer de rejoindre le plus grand nombre de personnes possible. C’est la première fois que nous lançons des balados et nous sommes très fiers du résultat et de l’implication de tous les participants », souligne Luc Sirois, responsable du projet.