Vous luttez contre l’anxiété au quotidien ? Et si, au lieu de combattre votre anxiété, vous appreniez à l’écouter ? Comme un détecteur de fumée, l’anxiété vous alerte qu’un danger se profile : situation toxique, relation malsaine, environnement stressant…
Vous viendrait-il à l’idée d’enlever les piles de vos détecteurs de fumée, à votre domicile ? Bien sûr que non ! Leur fonction étant de vous indiquer qu’un début d’incendie s’est déclenché pour vous sauver la vie. Il en va de même pour l’anxiété : elle vous signale que vous êtes dans une situation qui nuit à votre santé ou encore face à une personne toxique.
Rappelez-vous que notre corps est bien plus intelligent que nous et qu’il est le meilleur guide qui soit. Il détecte tout : le bon, vous mettant dans le confort, comme le mauvais produisant une sensation d’inconfort. Encore faut-il savoir l’écouter…
Votre premier réflexe, quand vous faites de l’anxiété, au lieu de découvrir ce qu’elle a à vous dire, c’est d’essayer de la museler.
Demandez-vous pourquoi certaines personnes ne ressentent jamais d’anxiété. Simplement parce qu’elles savent éviter les situations et les personnes qui génèrent de l’inconfort, du stress et de l’anxiété. Quand vous savez ce qui est bon pour vous, vous évitez systématiquement ce qui est mauvais.
Combien d’entre vous ont démarré une relation affective toxique avouant, une fois qu’elle a échoué, qu’une « petite voix » vous soufflait que ça ne pouvait pas fonctionner. Dès que vous n’êtes pas à la bonne place, un inconfort s’installe, premier message de votre subconscient à travers votre corps. Vous ne l’écoutez pas, vous obstinant dans cette voie, l’inconfort deviendra épisodes d’anxiété. Et si vous n’essayez toujours pas de décoder le message qu’elle essaie de vous délivrer, vous tomberez dans l’anxiété généralisée, voire la dépression ou le burnout. Parce que, croyez-moi, elle est là pour vous protéger et ne désarmera jamais tant que vous n’aurez pas compris qu’il faut vous éloigner de ce qui est toxique.
La dépression (épuisement dans la vie privée et sociale) ou le burnout (épuisement dans la vie professionnelle) sont des allergies à un environnement toxique.

L’antidote à l’anxiété ? Remarquez que ce phénomène qui se traduit à travers le corps d’une multitude de façons (gorge serrée, cage thoracique écrasée, difficultés respiratoires, nœud dans le ventre, tension dans les trapèzes, brûlures dans le plexus solaire, les pensées/questions qui tournent en boucle, etc.) repose sur les peurs. Et « peurs » rime avec « enfant intérieur ». Quand vous tombez dans vos chaussures de gamin de six ans, dépassé par les événements, vous paniquez et l’anxiété frappe à votre porte : peur de ne pas réussir, de ne pas être à la hauteur, d’être abandonné, peur de la solitude, du rejet, d’être humilié, d’être dans une situation d’injustice. Bref, tout ce qui vous dévaste parce qu’incapable d’y faire face tant dans votre vie privée que sociale ou professionnelle. Vivre avec la peur au ventre en permanence est usant et j’admire ceux et celles dont c’est le quotidien.
Je me demande comment vous faites pour vous lever le matin en sachant que vous devrez affronter tout ce qui vous terrifie au quotidien. Alors qu’il serait si simple de développer votre confiance et votre estime qui se sont bloquées dans l’enfance et que vous pouvez « muscler »…
Vous conviendrez que les détecteurs de fumée ne se manifestent pas quand votre vie est bien gérée. L’antidote à l’anxiété, c’est effectivement la confiance et l’estime qui vous font tant défaut aujourd’hui et que vous êtes en mesure de « booster » à travers un processus de coaching. Si tant est que vous soyez déterminé à vous prendre en main et à changer le cours de votre vie pour aller chercher le bonheur que vous méritez !
Pascale Piquet, la spécialiste de la dépendance affective et du bonheur !
Coaching avec Pascale Piquet
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