L’incontournable chanteur rock Rick Hughes dévoile aujourd’hui Redemption, un premier album solo disponible à l’international, sous l’étiquette Deko Entertainment. Composé de dix titres, sept en anglais, deux en français et un bilingue, l’album illustre la polyvalence de l’artiste, naviguant entre le hard rock et des ballades plus intimistes. Avec Redemption, Rick aborde les thèmes de la résilience, de la passion et de la quête de sens, portés par des arrangements à la fois puissants et sensibles.

Pour donner vie à ce projet, Rick Hughes s’est entouré de musiciens d’exception. Brad Gillis (Night Ranger) signe la guitare et la composition de plusieurs morceaux, tandis que Robby Krieger (The Doors) apporte sa touche psychédélique à l’un des titres phares. On retrouve également la voix de Lee Aaron dans un duo en français, la puissance vocale d’Amy Keys (Ringo Starr, Phil Collins, Johnny Hallyday, Toto, Sting, Stevie Wonder), la virtuosité du jeune guitariste Jacob Deraps, ainsi que la complicité artistique de Lulu Hughes, la sœur de Rick.

« La scène est mon refuge, mais avant d’y arriver, je dois trouver la musique qui me fait voyager dans le moment présent. Cet album, c’est ma façon de rejoindre les gens. Redemption est mon langage. Avec John Webster, Brad Gillis, Robby Krieger, et plusieurs autres musiciens passionnés, Ensemble, nous avons bâti un univers musical diversifié, où chaque collaboration apporte sa propre couleur et son énergie. J’espère que chacun y retrouvera sa propre rédemption, parce que la musique que l’on écoute chaque jour est celle qui nous aide à nous recentrer sur nous-mêmes. La rédemption, ce n’est pas une prière, c’est un cri. C’est le son de la guitare qui couvre nos démons, la voix qui refuse de se taire, l’énergie brute qui transforme nos cicatrices en hymnes. » – Rick Hughes

Avec ce répertoire multilingue et ces rencontres artistiques exceptionnelles, Redemption s’impose comme un album singulier, pensé comme un hommage vivant à l’universalité et à la force du rock.

DEAD END ROAD
Dead End Road est un hymne rock sur la résilience et la liberté. Ma sœur, Lulu Hughes, m’accompagne aux chœurs, puisque cette histoire de survie nous appartient à tous les deux. Monter sur ma Harley, foncer sur l’autoroute, l’autoroute vers nulle part… Cette chanson rappelle qu’il existe toujours une issue : une impasse, ça n’existe pas.​​​​​​​

CROIRE EN L’HOMME
Lorsque j’ai commencé à créer Redemption, on m’a souvent demandé : « Ton album sera-t-il en anglais ou en français? » Ma réponse fut simple : les deux. Bien qu’il soit principalement en anglais, je voulais offrir une place à mon fidèle public francophone. Même si je me sens plus à l’aise en anglais, j’adore chanter en français, notamment le répertoire de mon idole Johnny Hallyday. Cela apporte une couleur particulière, même pour les amateurs de rock qui ne parlent pas la langue. C’est pourquoi j’ai choisi Croire en l’Homme, une chanson qui résonne fortement avec notre époque. J’ai eu l’immense honneur de partager l’enregistrement en studio, à Vancouver, avec la Metal Queen Lee Aaron, qui a prêté sa voix aux mélodies, aux refrains et aux chœurs.

THE REAL ME
The Real Me est l’une des pierres angulaires de l’album Redemption. En tant que fan inconditionnel de The Who, je voulais rendre hommage à l’âge d’or du rock des années 70. Pour en capter l’essence, j’ai réuni un véritable « supergroupe » : Tommy Aldridge, Rudy Sarzo et Brad Gillis. Un moment unique où ces légendes se rassemblent pour insuffler une nouvelle vie à un classique.

CARRY THE TORCH
Carry the Torch m’a été offert par mon ancien compagnon de Saints & Sinners, Jesse Bradman, qui l’a coécrite avec le guitariste Brad Gillis et David Sikes, bassiste du groupe Boston. Cette chanson s’adresse à ceux qui croient encore en l’amour et à la loyauté qui l’accompagne, malgré les erreurs et les blessures. Les paroles reflètent la vulnérabilité et le désir profond au cœur de cette pièce : un amour si fort qu’il traverse le temps. I still carry the torch, ain’t no girl that’s ever been close…

WILL OF THE GUN
Plus pertinente que jamais, Will of the Gun dépeint le monde d’aujourd’hui sans tomber dans le politique. Elle met en lumière les divisions et la violence des dernières années. « We used to care for each other, I remember we were good friends once, but now we barely talk to each other », ces mots révèlent la fragilité des liens humains, désormais brisés, laissant derrière eux des cicatrices. Une réflexion sobre sur un monde où trop souvent, tout se résume encore à « the will of the gun ».

SHAKE MY SOUL
Shake My Soul m’a été offerte par Brad Gillis, qui signe toutes les parties de guitare. C’est le morceau le plus rock de l’album, un incontournable, car le hard rock fait partie intégrante de mon identité artistique. Cette chanson fut un véritable défi, autant vocalement qu’émotionnellement, m’obligeant à chanter avec puissance et intensité. Avec ses refrains flamboyant, « Shake my soul, ripped up beat down and out losing control », elle incarne parfaitement l’esprit de Redemption.

SOMEDAY
Someday est une chanson très spéciale, inspirée par la perte d’un être cher suivie de la naissance d’un enfant. Entre peine et espoir, elle porte des mots sincères : Someday, when you need a friend, just call my name, you know I’ll be there. Après l’avoir écrite, je l’ai partagée avec Aldo Nova, qui m’a suggéré de la retravailler avec Jon Bon Jovi. Pour moi, ce morceau est un rêve devenu réalité : un hymne à l’amour qui survit au temps, aux épreuves et aux plus grands défis de la vie.

DANS LA PEAU
Dans la peau s’ouvre sur la guitare psychédélique et envoûtante de Robbie Krieger, légendaire guitariste des Doors qui a marqué mon adolescence. À l’origine, la chanson devait être un duo entre Johnny Hallyday et Amy Keys. À la suite du décès tragique de Johnny, j’ai eu l’honneur d’hériter de ce morceau et de le porter plus loin. Avec l’une des plus grandes voix féminines et l’un des guitaristes les plus influents de l’histoire du rock, cette pièce blues-rock, flirtant avec le country, devient un moment puissant et sensuel, où passion et intensité s’entrelacent.

IN A PERFECT WORLD
Perfect World m’a été offerte par l’auteure-compositrice réputée Annette Ducharme, coécrite avec Amanda Marshall. Dès la première écoute, j’ai été frappé par la force de ses paroles et de sa mélodie. Pour moi, la rédemption signifie apprendre à créer son propre « monde parfait », même face à la douleur et aux épreuves. In a perfect world, nobody gets hurt, there’s no pain and there’s nobody crying. Cette chanson incarne ce rêve universel d’un lieu où l’amour et l’espoir surpassent les cicatrices, une réflexion intime qui s’inscrit au cœur de Redemption.

ÇA VA BRASSER
Pour explorer toutes les facettes du rock, je me suis offert le plaisir de reprendre un classique de l’un de mes idoles d’adolescence : Michel Pagliaro. Ça va brasser, c’est du rock’n’roll pur, de celui qui fait taper du pied, lever son verre et monter le volume quand la fête bat son plein. Pour amplifier l’énergie, j’ai invité Jacob Deraps, le jeune prodige de la guitare déjà salué par la presse internationale. Le résultat : une reprise qui décoiffe.
 

À PROPOS DE RICK HUGHES
Né au Canada, Rick Hughes est le chanteur du groupe légendaire de heavy metal Sword (formé en 1981, « Metallized » en 1986, « Sweet Dreams » en 1988, « The Best of Sword » en 2006, « Live Hammersmith » en 2016, « III » en 2022) et du défunt groupe de hard rock Saints & Sinners (Saints & Sinners en 1992). Il a partagé la scène avec des icônes telles que Metallica, Motörhead, Alice Cooper, Bon Jovi et Anthrax, se produisant à travers l’Amérique, l’Europe et le Japon. Reconnu pour sa voix puissante et respecté internationalement, il cite parmi ses influences Robert Plant, Ronnie James Dio, Rob Halford et Johnny Hallyday. Son nouvel album solo Redemption, produit par John Webster (Aerosmith, Mötley Crüe), rassemble plusieurs grands noms du rock mondial.