La première étude des crédits budgétaires s’est conclue hier pour la députée de Terrebonne, Catherine Gentilcore.
Pour l’élue péquiste, cet important exercice a permis de forcer le gouvernement de la CAQ à rendre des comptes, mais il fut aussi une occasion concrète de défendre les intérêts des citoyennes et citoyens de sa circonscription.
L’étude des crédits représente un moment clé du travail parlementaire, permettant aux députés de passer au peigne fin les orientations budgétaires des ministères et d’interroger directement les ministres. Pour la nouvelle élue, c’était l’occasion de faire entendre la voix des Terrebonniennes et des Terrebonniens sur des dossiers qui touchent leur quotidien.
« Comme nouvelle députée, l’étude des crédits a été extrêmement formatrice. Elle m’a permis de mettre à l’épreuve 11 ministres différents, de poser une trentaine de questions sur les choix de la CAQ et surtout de faire valoir notre point de vue sur ceux-ci. Bien que certaines réponses n’étaient pas à la hauteur des attentes des citoyens de Terrebonne, j’ai assumé mon rôle avec sérieux afin que les enjeux de Terrebonne soient bien compris et considérés dans la gestion des portefeuilles ministériels », affirme la députée de Terrebonne, Catherine Gentilcore.
Engagée dans pas moins de neuf dossiers locaux prioritaires, la députée a multiplié les interventions ciblées pour obtenir des réponses sur des enjeux concrets tels que la condition féminine, le logement, l’itinérance, la culture et l’économie.
Sa participation active témoigne d’un souci de transparence, d’une volonté de rendre des comptes et d’une rigueur qui s’affirme à l’Assemblée nationale dès les premiers mois de son mandat.
« J’avais promis de redonner une voix forte à Terrebonne et c’est ce à quoi je me suis affairé depuis mon arrivée », conclut Catherine Gentilcore.