Ils étaient plus d’une centaine d’intervenants, de professionnels de la santé, d’anciens bénéficiaires des soins du centre et des familles à se réunir pour célébrer le cheminement d’hommes et de femmes qui aspirent à prendre un nouveau départ.
Fondé il y a près de 15 ans, le centre de traitement des dépendances et de rétablissement mixte la Villa de la paix a pour mission de venir en aide aux hommes et femmes aux prises avec des problèmes d’alcoolisme et de toxicomanie, lorsqu’ils sont au plus bas mentalement et physiquement.
La Villa, un joyau
« C’est évidemment un sujet qui vient nous toucher chacun d’entre nous, car aujourd’hui le pourcentage d’hommes et de femmes qui entrent dans les statistiques est de plus en plus élevé. On parle ici de dépendances. De dépendances à l’alcool, aux drogues, ou autres », explique Pierre Pilon, de la Villa de la paix.
Cette activité a permis non seulement aux participants de vivre un moment de rassemblement et de rapprochement, mais également aux élus et représentants des paliers gouvernementaux, soit Mme Michelle Joly, mairesse de Chertsey, M. Gabriel, Ste-Marie, député de Joliette et M. Hugo Paquette, conseiller politique de Mme France-Élaine Duranceau, députée de Bertrand, de découvrir l’extraordinaire travail d’une équipe entièrement dédiée aux patients-clients qui font le choix de vivre une expérience unique dans le milieu des cures de désintoxication au Québec afin de mettre toutes les chances de leur côté pour prendre une nouvelle voie et connaître un nouveau départ.
La valeur ajoutée de la Villa de la paix
- Approche « patient-client » (amalgame d’un établissement hospitalier et hôtelier)
- Espaces réservés (étages – hommes et femmes)
- Durée minimale du séjour : 28 jours
- Présence sur place et implications quotidienne : nutritionniste, éducateur physique, intervenant.
- Chambres privées pour tous (afin de respecter l’espace nécessaire de chaque personne en traitement)
« La Villa est aujourd’hui devenue un véritable havre de « paix » pour des centaines d’hommes et de femmes qui recherchaient un lieu différent, où leurs dépendances sont comprises et où les soins sont proposés avec un très grand respect de la personne et une grande proximité avec leur vécu, leurs peurs, leurs angoisses, leur désespoir, mais aussi leur désir de s’en sortir. », précise M. Pilon.
